Dans un comic-strip tout en travelling et en zip, la Nouvelle-Orléans incarne le zeppelin d'un monde libertin. Il y a des femmes, il y a des hommes. Des vies en pleine combustion, cherchant le sentiment exact, le vertige chirurgical. Au bord de la malice, du vertigo et d'Alice, les liaisons clandestines clopinent dans les districts et les sens-interdits.
« Les hôpitaux, les prisons et les putes, telles sont les universités de la vie » Charles Bukowski.
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New-York, L.A., Chicago, San Francisco, Détroit, Boston.
Encore et encore le même bitume, les mêmes buildings, les types en costard qui harcèlent des taxis pressés. Des paparazzis surexcités traquant des stars droguées. Les touristes qui prennent en photo jusqu'à votre boite aux lettres. Des chiens qui traînent leurs maîtresses à chaque rue. Ou encore ces adolescentes juvéniles qui prennent un joint et se classent immédiatement dans la catégorie « terroriste » et « ennemi public». J'aime foutrement ce bordel. Faire le plein de kérosène dans les bars et vagabonder la nuit tombée comme un old Bukowski.
En Louisiane, il y a un petit bled prénommé Nouvelle-Orléans. C'est une ville intéressante, permettant une traversée dans une culture plus importante qu'un cheeseburger. Un fond de jazz dans chaque taudis. Des gonzesses peu farouches mais qui connaissent la vie sans mascara. Les hommes savent conduire sans klaxonner en même temps. Les mythes, légendes, tout ce vaudou s'injecte dans les conversations avec une facilité déconcertante. Et de temps à autre, un ouragan vient essayer d'abattre cet univers. Jusqu'à présent : game over. (more)